Emily mesure 1m59. Ses mensurations sont :
Tour de poitrine : 84 cm
Tour de taille : 73 cm
Tour de hanches : 99 cm
Son bébé a 6 mois.
Emily décrit sa physionomie ainsi : « Je suis un peu entre Eva Longoria et Jennifer Lopez : je suis petite, avec une poitrine toujours minuscule malgré l'allaitement (bonnet B). Je suis mince, mais avec des hanches et des cuisses un peu rondes quand même, au moins par rapport aux "normes" qu'on voit dans les médias ; Je suis accro de la course à pied et j'apprécie beaucoup mes jambes pour tous les kilomètres qu'on a fait ensemble !). »
Emily est photographiée avec la robe Charleston (un petit peu grande, en XS/36, il aurait fallu du 34), la robe Gaia (parfaite en XS), et le top Perle (en XS) Elle a aussi essayé :
- Le top petites fronces en XS, parfait.
- La tunique Kimono en S, parfaite (XS aurait été bien aussi, Emily est entre deux tailles.)
1. Qu’est-ce qui vous a donné envie de participer à l’atelier d’essayage ?
Je suis une fan de Mamanana depuis la naissance de mon premier enfant en 2007. Américaine, je trouve dommage qu'en France l'allaitement soit beaucoup moins répandu qu’outre-Atlantique, et pour moi soutenir les sites Web comme Mamanana qui soutiennent les mamans allaitantes allait de soi. En plus, j'avais envie d'essayer des articles que je n'aurais peut-être pas osé commander en ligne. Si ça peut aider d'autres clientes dans leur choix, tant mieux !
2. Comment s’est passé l’atelier d’essayage pour vous? Qu’avez-vous pensé des vêtements essayés ? Quel était votre tenue mamaNANA favorite (soit essayée à l’atelier d’essayage soit venant de votre garde-robe personnelle si vous avez déjà acheté sur le site) ?
J'ai adoré l'atelier d'essayage. Je me sentais belle et chouchoutée (parfois rare pour une jeune maman trop souvent fatiguée, hélas !), et c'était agréable de passer un moment entre mamans, avec des bébés tous petits jusqu’aux bambins qui commençaient à marcher. Je suis venue avec ma fille de six mois et ma belle-mère.
J’ai trouvé une robe (la robe Gaia) et deux tops (« petits fronces » et « perle plissé ») que j’ai particulièrement aimés et que j’ai achetés depuis. A priori je n’aurais pas acheté la robe Gaia sur le site car je me disais que ça me n’irait pas, c’était trop long, la couleur trop sombre… mais finalement je l’ai vue sur une autre maman lors de l’atelier, et j’ai trouvé la coupe et la couleur tellement belles qu’il fallait voir. Après, je la voulais absolument pour cet été.
Dans ma garde-robe chez moi, j’apprécie particulièrement la robe « Havana » en S, le top "croisé" (en S), indispensable pendant la grossesse et toujours flatteur après, le débardeur faux cache-cœur de chez Milker (en S), et le top Marine (en S).
3. Avez-vous rencontré des difficultés pour vous habiller et mettre en valeur votre physionomie avant, pendant et après votre grossesse ? Quels sont vos trucs et astuces ? Quelles coupes (types de robes ou de hauts) recommanderiez-vous à d’autres jeunes mamans ayant une physionomie proche de la vôtre ?
Je suis assez petite, et pendant la grossesse il était parfois difficile de trouver des tops et des robes qui ne faisaient pas un effet « abat-jour » sur moi. Il fallait privilégier les tops un peu moulant au niveau du ventre. Mais en fin de grossesse, je voulais plutôt porter des vêtements amples, plus confortables. Le top croisé (j’en ai acheté deux) a été un très bon compromis. C’était également très utile juste après l’accouchement quand j’avais encore un petit ventre à dissimuler.
4. Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vous (nombre d’enfants, activité, centres d’intérêts, etc.) ?
Je suis maman d’un fils qui aura bientôt quatre ans et que j’ai allaité 22 mois, et d’une petite fille qui est toujours allaitée à 6 mois. Je suis ingénieur en informatique, et je reprends le travail en septembre. Je suis américaine d’origine, née à Seattle.
5. Un petit mot sur votre allaitement : comment vivez-vous votre allaitement ? Qu’aimez-vous (ou que n’aimez-vous pas) dans l’allaitement ? A quoi attribuez-vous le succès de votre allaitement (soutien des proches, bons conseils des professionnels de santé, associations, etc.) ?
Jeune maman, on se pose beaucoup de questions, et après la naissance de mon fils, j’étais loin d’être sûre de moi. Portant, l’allaitement me semblait une évidence, car toutes mes amies américaines allaitaient leurs enfants, et même ma mère et ma belle-mère ont allaité, ce qui pourtant était bien rare pour leur génération. Mais pendant son premier mois, mon fils pleurait tout le temps, dormait mal et ne prenait pas suffisamment de poids. J’ai reçu des conseils très mitigés des professionnels de santé. Une puéricultrice à la PMI ne comprenait visiblement pas pourquoi je voulais continuer d’allaiter exclusivement, et m’a conseillée vivement de supplémenter. Je me souviens avoir quitté la PMI en larmes, tellement j’étais déçue et fatiguée !
Mais une autre puéricultrice qui animait les réunions post-natales à la maternité était une consultante en lactation certifiée IBCLC, et elle m’a conseillée de donner le sein fréquemment pour consoler mon fils et m’a surtout rassurée que mes instincts étaient bons. J’ai réussi mon premier allaitement grâce à elle, mais aussi grâce à une amie aux US, très au fait en matière d’allaitement, qui a répondu à mes appels d’urgence à toute heure de jour et de nuit, et à ma belle-mère en France qui m’a beaucoup encouragée dans mon projet d’allaitement, et surtout à mon mari qui comprenait dès le début pourquoi allaiter était si important pour moi.
Après la naissance de ma fille l’allaitement s’est mis en place tout naturellement – c’est comme apprendre à faire du vélo, on n’oublie pas -- mais le soutien de mon mari et de ma belle-mère était d’autant plus indispensable qu’il y avait désormais deux enfants à s’occuper !
Je trouve bizarre que l’on entende souvent dire que l’allaitement exclut les pères, car pour mon mari c’est plutôt une raison de plus pour participer : porter le bébé quand je veux dormir, préparer à manger pour toute la famille, faire la vaisselle pendant la tété, apporter des bouteilles d’eau, il y a toujours quelque chose à faire. Au moment du sevrage, c’est mon mari qui a pris la responsabilité de mettre mon fils au lit, et cela reste toujours aujourd’hui un moment privilégié avec papa.
Ce que j’apprécie le plus avec l’allaitement est le côté affectif, et le lien unique qui se crée avec l’enfant. J’aime également le côté pratique : le lait maternel est toujours prêt, toujours à la bonne température, il n’y a pas de biberons à préparer au milieu de la nuit, et on peut partir de la maison même pour une journée complète avec simplement un petit sac avec des couches et quelques vêtements de rechange.